04. Limoges, 1999 : « L’Amour Fusionnel »

L’Amour Fusionnel :

Quand je regarde, les nuages ne sont pas si loin que ça   [ * ]
Comme l'amour sans raison
Comme la voix d'un main qui fait danser "l'autre"
Ils montrent les étranges chemins de la naissance de l'univers

Comme les corps qui se prolongent dans la liberté
Ils me disent : regarde nous plus beaux que des fleurs
Ils me soufflent le cœur ; la voix du monde. La voix du désert

Comme une main qui chante
Comme mes bras qui te serrent même quand tu n'es pas là
Comme des nuages : si loin, si près, elle tournent et le vide autour
Comme le temps qui tourne quand ils dansent
Comme mes ailes qui volent dans les vides d'un souvenir

Oui je les cherche derrière, mais je la trouve devant ; oui mes nuages
Et je cours vers eux, le poids m'abandonne
Comme je plante mes couleurs, sur les tapis qui m'ont vécus
Comme le miroir à deux ; les nuages ne sont pas si loin que ça


*Ce vers est extrait d'un poème écrit par un écolier du Limousin en 1997, il résume "l'histoire"

NOM
PHENIX
LES AMOUREUX
TROISIEME  MAIN
MERE ENFANT
CHEVAL
FLEUR DE VASE
SEPT NOTE DU NEI
MENAGERE
MES BRAS
LES DANSEUSES
LES REVES TOURNANTS
LE KHOLE ET LES AILES
MON IMAGE ET MOI
CAVALIER PERDU
L'ŒIL ET LE TAPIS
NAISSANCE DE   "DEUX"