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Un mélange , le résultat du vingt ans du travail , fond calligraphique , vers l'utilisation des symboles de Nastaliq vers une composition retrouvé...
La calligraphie entre les choses et les mots, sommet de stylisation de symbolisation.
“La recherche pour savoir »; fonde la couche de base de continuité de notre présence. Il y a encore des zones d’ombres pour tracer correctement ce voyage au moins plusieurs centaine des milliers d’années, entre les deux mondes que pour la simplicités on les nomment : « monde animal » et « le monde de l’Humaine ». Schématiquement ce que nous savons de présence de cette différence peut se résumer ainsi: La symbolisation.
La symbolisation nous a permit de nommer et la nomination nous a dirigé vers la communication humaine et l’invention des choses. Les choses existent car nous les nommons. L’art rupestre; la mère fondatrice de l’écriture, la premier signe de trace du temps dans la vie de l’ « Homme ». Successivement, de l’art rupestre à l’écriture, la trace de nomination se concrétise. Et les frontières de notre présence, se confirment, par les traces, les lignes , les courbes, grands ou petits ; sur l'argile, ou papiers…ou enfin, les outils le plus moderne, les ordinateurs, … Comme si, ces signes et symboles qui nous utilisons dans le quotidien, ces tracs de moins d’un millions d’années portent en aux, concrètement notre passé.
La calligraphie, stylise, donne de l’harmonie, rendre visible : Les lignes entre l’univers et nous-mêmes. Autrement dit ; via la main de calligraphe, la suite vivant de beauté des formes, acoustiques des mots inventés et prononcés, ou tournées depuis ces années; se stylise et deviennent vivent devant nos yeux.
Calligraphe se substitut comme un médiateur entre les images des choses et notre sensibilité d’entendre l’harmonie de l’univers déjà découvert par l’Homme »