Hassan Makaremi

Psychanalyste Chercheur Artiste

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Poème: L’ARGENT

publié le:

L'argent est un outil d'échange entre l'hystérie et l'obsession ;
Entre la liberté de vivre pleinement ce moment là et,
Avoir la sécurité du moment qui vient ;
Entre la vie et l'amour de la vie : la prostitution de l'amour ;
Entre la profondeur de la qualité de ce moment,
La générosité du présent et la mendicité d'assurance ;
Entre union, un, tout et zéro de "maintenant" devant un méconnu espéré,
Entre "vie mort" dense et l'attente de vie à la mort ;
Entre l'absence du temps et l'invention du calendrier ;
Entre amour et amitié ;
Entre amitié et besoin ;
Entre besoin et demande ;
Entre demande et désire ;
Entre désire et libido ;
Entre libido et ça ;
Entre ça et rien ;
Entre rien et zéro ;
Entre zéro et.....

Hassan Makaremi

1999

Poème: Le miroir de héros de patrie

publié le:

Ma mère regarde hautement,
Au flotte de sang de liberté d’"Evine".
La couleurs d’automne des vallées,
En souvenir des groupes.

Fières,
Avec les chansons de savoir, pouvoir, et la vie,
L’odeur des lignes des routes : Halte ! Sang !
La danse de taille casé de deux hommes,
Dans le regarde d’un enfant de trois ans, la tête baisé,
Le même "Alborz", cette lionne crie au mort de sa fille innocent,
Est la même.

N’est - ce pas le moment de faire descende ce cavalier ?
Le même " Babac ", un chevalier de peuple, avec de sel et pain,
De deux à cent, aide est une aide ;
Chacun à sa mesure.

Regarde un autre coin:
"Takhtie", le héros de notre génération Tourne au milieu,
Pour l’amour de liberté, danse avec ses pieds,
Dans le champs de défense de sa patrie,
Et baise sa tête avec le respect.

Devant le regarde de nouvelle génération.
Entre les petites maisons des villes et villages,
Avec un journal, une chanson, un slogan d’amour ou un bal,
La même patrie.

Hassan Makaremi

1983

Poème: Centenaire de Marx

publié le:

Les souries se promènent.
Un flic fait sauter le cœur d’une prostitué.

Désire d’une branche fraîche de châtaignier,
D’un cœurs de betterave.
Il avait un volume chaud, et les paroles tous étaient de demain.
Le matin passait avec pudeur sur la tête de froid.
Un homme ivre vomi,
Un amoureux cherchais un coin tranquille.
Un coin de poubelle a été fouillé.
Un garçon se frotte la reste de son cigarette

A surface fatigué de douleur.
Un souffle imaginaire passait à travers la fenêtre.
Et noierait la séparation,
De prison de "Ghésel Ghaleé",
Jusqu’au chambre de bonne.
Oh, la ligne des prolétariat est très profonde,
Et l’aire de vol est si fine.

Hassan Makaremi

1983

Poème: Quelques lignes vagues et discontinues

publié le:

Les perdures d’enfance,
Avec le Tee - shirt blanc et large du grand frère,
Avec les pantoufles grasses de grand-mère,
Cherchent les miettes de cigarette de la veille, pour deux claques d’amour.

L’oiseau haché est suspendu à la branche du pommier.
Et un couteau fin tourne dans son ventre.
Quelque chose tombe doucement.
Le chat cour à midi en plein ennui de Téhéran.
Et le regard d’amour se lève de la fenêtre du voisin.
Les morts chantent et avancent.

Les chants religieux,
Tournent les pages des années scolaires.
Le bébé de tante rit, la sœur s’habille en blanc,
Les petites ampoules vert foncé,
Les notes sèches du hautbois,
Et la voix fatiguée d’une femme.

Les perdures d’enfance dorment tranquillement,
Dans un crayon.
Et ils seront usés, s'ils ne peuvent sortir,
Dans le coin d’une prison, sous le tir d’un fusil.

Hassan Makaremi

1984